Traditionally, Nicole O’Bomsawin tells us, the solitude of the winter camps ended in the maple groves where all the women of the Abenaki would collect the sap, singing 400 at a time, a special song with liquid syllables. With spring breakup, the people could now paddle along the “road that moves” to the rendezvous. Rivers are the blood of Mother Earth, the land her body, the sap her milk. And crystallized maple sugar was a eucharist, to be traded for other particular gifts of the Creator, at the sacred truce points: Tadoussac, Trois Rivières, Hochelaga.
Abenaki petrogpyphs, Vermont by aspergillus_n
Selon Nicole O'Bomsawin, dans la tradition des abénakis, la solitude des camps d’hiver prend fin dans la rassemblement du printemps. Après le débâcle, ou le peuple peut prendre la « route qui se meuve ». c’est le festin. Jusqu’à 400 femmes de la tribu chantaient ensemble au tir d’érable. Un chant spécial aux syllabes liquides. Si les rivières sont le sang de notre Mère, la terre son corps, la sève est son lait. Et le sucre d’érable son eucharistie, don particulier du Créateur à échanger aux grands rendezvous qui furent Tadoussac, Trois Rivières, et Hochelaga.
Nicole est adjointe à la direction et responsable du dossier des relations autochtones inter-réserve et internationales, du biosphère du Lac-Saint-Pierre. Sa photo-exploration en kayak, Alsiganteku.
Abenaki Nation and legends, Travel guide to the Lac St Pierre biosphere, E-bird maps and barcharts; date the American Robin is first heard singing.
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